Avec l’arrivée de la gare du Grand Paris, prévue en 2027, la position du Village Delage sera fortement renforcée. La création d’un écoquartier sur ce secteur constitue donc pour la Ville de Courbevoie une opportunité exceptionnelle, tant pour son développement économique que démographique. Menée depuis 2013 avec une volonté politique forte de la ville, la mutation de ce secteur est caractéristique de la reconstruction de la ville sur elle-même.

L’écoquartier propose une qualité de vie exceptionnelle autour d’un caractère de village. Cette mutation conjugue le développement d’activités économiques et commerciales, la production de 1000 logements (3000 habitants) et le déploiement d’équipements publics (crèche, groupe scolaire innovant) et des circulations douces pour un espace public de qualité.

L’écoquartier « Village Delage » est implanté sur la commune de Courbevoie au cœur du tissu urbain à proximité du centre-ville et de la gare de Bécon-les-Bruyères. Cette localisation privilégiée, à 3 km de La Défense et à moins de 500 m d’une nouvelle gare du Grand Paris, s’inscrit dans une zone urbaine dense au tissu mixte et disparate, marquée par un passé industriel important incarné par les anciennes usines automobiles Delage.

Ancien site d’activités, ce quartier constitue, dans le cadre de la reconstruction de la ville de Colombes sur elle-même, une véritable opportunité pour pouvoir opérer sa mutation urbaine et se ré-intégrer à son contexte urbain environnant.
Avec l’arrivée de la ligne du Tram T1 prévue en 2024, qui s’ajoutera aux réseaux des transports existants, et les Jeux Olympiques de Paris de 2024, l’attractivité de ce secteur sera fortement renforcée. Ce quartier sera pour la Ville de Colombes un atout exceptionnel, tant pour son développement économique que pour son maintien démographique.

Par la diversité de cette programmation, ce quartier visera la création du bien vivre en favorisant les courtes distances pour ses habitants. Développant une ambition environnementale forte et innovante, la nature sera renforcée sur ce quartier : on privilégiera la création des espaces naturels à plusieurs échelles : deux parcs significatifs sur les îlots Magellan et Colombus, ainsi que des cheminements piétons requalifiés en lien avec le maillage existant. Un véritable cheminement piéton et cyclable sera réaménagé le long de l’autoroute A86. Il permettra de relier l’îlot Cook à l’îlot Faber.

En bordure de la route nationale 3, source de fortes contraintes acoustiques et visuelles, le projet développera des serres le long de la route nationale pour créer un espace « tampon acoustique et visuel » pour les îlots résidentiels qui seront créés à l’arrière. Les serres s’implanteront depuis la rue du Chatinay jusqu’à la limite Est de la commune. La programmation des serres sera mixte car elles accueilleront une ferme urbaine avec des locaux qui en seront liés, — point de vente/ateliers pédagogiques/bureaux coworking, et des espaces collectifs —des jardins d’hivers pour les résidents.

Ces serres seront à l’image de l’innovation du renouvellement urbain et marqueront cette nouvelle entrée de ville.

Le projet développera un tissu d’habitat mixte sur l’ensemble du secteur (habitat collectif/intermédiaire et individuel) pour une meilleure transition avec le contexte existant.

La Cité Jardin « La Poudrerie » sera réhabilitée. Le groupe scolaire, pour ce nouveau quartier, sera implanté en deuxième rang d’îlots, le long du mail planté. En retrait de la route nationale 3, l’accessibilité et l’acoustique en seront améliorées.

En entrée sud du quartier, des commerces de proximité se développeront, en lien avec les rez-de-chaussée des serres.

En perte de vitesse économique depuis de nombreuses années, le centre commercial « Grand Bois » du quartier du Bois des Roches, constitue aujourd’hui pour la ville, un pôle majeur urbain à traiter dans le cadre du développement et des aménagements urbains de Saint-Michel-sur-Orge.

S’étendant sur un site de plus de 8 hectares, ce projet urbain visera la mutation urbaine du nord du quartier du Bois des Roches, en relation directe avec la commune de Sainte Geneviève des Bois. Il s’agira de créer une véritable « couture urbaine » sur ce « délaissé urbain » qui ne permet pas à la ville de se reconnecter avec son contexte environnant, et de redynamiser le centre commercial en perte de vitesse économique. Ce nouveau quartier, accueillera une mixité des fonctions, avec 700 logements, des commerces, des équipements sportifs et culturels et constituera une véritable vitrine pour la ville et son renouvellement urbain.

L’aménagement de l’ensemble de la ZAC s’inscrit dans un projet urbain visant le rééquilibre entre le nord et le sud de la commune de Gargenville. En réintégrant la friche industrielle Porcher dans un ensemble urbain cohérent et en offrant au sud de la commune un groupe scolaire, une crèche, une résidence intergénérationnelle à caractère social, des commerces de proximité, le quartier proposera de nouveaux services à la population et des logements accessibles à tous (accession, locatif intermédiaire, locatif aidé).
À proximité immédiate de la gare SNCF, le programme prévoit également des locaux adaptés aux petites entreprises et artisans.

L’aménagement du parc central, qui propose un cadre paysager agréable et ludique pour les enfants, permet notamment de récupérer les eaux de pluies jusqu’à l’occurrence de la centennale.

L’établissement public Seine-Aval entend faire du nouveau quartier une vitrine en matière d’aménagement urbain durable.

Aujourd’hui l’opération des Hauts de Rangiport prend forme, environ 300 logements ont déjà été construits. Des équipements publics, tous végétalisés, ont été réalisés à proximité du parc.

Une école maternelle et primaire a aussi vu le jour il y a 4 ans ainsi qu’une crèche d’une vingtaine de berceaux.

Ce projet audacieux, et moteur de création co-productive, explorera la valorisation des modes alternatifs d’appréhension d’un territoire par le biais d’une approche au plus près du terrain. Un projet prenant en compte toutes les problématiques présentes et à venir : urbaines, paysagères, architecturales, environnementales, sociales, économiques.

C’est par l’installation d’un fil conducteur spatial mais aussi dans la réflexion menée, qu’une cohérence d’ensemble naîtra et que le projet atteindra ses objectifs : proposer plus qu’un morceau de ville, un lieu fort de modularité dans les intérêts contemporains et futurs de la ville de Rouen avec une démarche environnementale évolutive et performante.

Implanté au sud de la commune de Rouen, ce site possède de nombreux atouts stratégiques : véritable vitrine pour l’entrée de la ville de Rouen, il est à la fois très bien desservi par le maillage viaire, le long d’axes structurants et par les transports en commun.

D’une envergure de plus de 4 hectares, ce site devient alors un véritable enjeu pour la ville de Rouen dans le cadre de son renouvellement. Il nous invite aujourd’hui à réfléchir aux composantes urbaines intrinsèques, et leurs temporalités qui renouvelleront ce nouveau quartier, pour permettre une mutation du site au regard des évolutions de demain.

Pour concevoir ce nouveau quartier, qui se développera sur de nombreuses années, il nous semble fondamental d’inscrire ce projet, ce quartier vers un urbanisme durable : un urbanisme qui puisse accepter les mutations urbaines éventuelles [les évolutions programmatiques, les évolutions de l’habitat de demain]. Il s’agit de ne pas récréer un unique macrolot difficilement mutable à l’instar de ceux créées dans les années 1970 ou plus récemment encore.
Ce projet devra poser les jalons nécessaires pour créer cette structure urbaine nécessaire qui permettra toutes les évolutions impliquées par les différentes temporalités du territoire — un urbanisme mutable et flexible.
Créer un socle urbain adapté au quartier, à échelle humaine, en proposant une taille d’îlots réduite, et des espaces publics structurants qui mettent en connexion les équipements présents et à venir, reliés par les circulations douces, les espaces fédérateurs structurants du quartier, sources de vie.

Sur la base de ce socle urbain, se développeront les lots selon le cadre de vie souhaité et la programmation désirée. La densité de chacun des îlots se fera en fonction de la programmation mais aussi au regard de son contexte urbain. Les gabarits seront progressifs pour une intégration urbaine optimale, la diversité des typologies architecturales alliée à la diversité des fonctions et des modes d’habitat proposés, [logement collectif, plots, logement intermédiaire, etc], permettra de répondre à la pluralité des besoins et des parcours résidentiels.
Aujourd’hui, il n’est plus acceptable d’étaler sur des hectares des logements individuels. Pour autant, le besoin d’individualisation des logements est très présent dans les attentes des habitants, notamment en réaction à la crise sanitaire de 2020. Nous proposons un nouveau type d’habitat qui répond à l’ensemble des souhaits des habitants : vers une individualisation des logements collectifs.
Cette typologie d’habitat favorisera l’individualisation des accès aux logements, et la création de grands espaces extérieurs attenants aux logements, « Le bien-vivre ensemble ».
Le quartier proposera une mise en œuvre des trames structurelles et de modularité du bâti pour permettre une grande souplesse d’aménagement, mais aussi des locaux partagés pour créer du lien social.

Afin de définir comment projeter la ville de Graçay, ces prochaines décennies, la commune a engagé une véritable réflexion, auprès de ses habitants pour comprendre leurs souhaits et ancrer le développement urbain de la ville dans un développement durable et solidaire.

La création d’espaces urbains exemplaires, et la constitution d’îlots intégrés à leurs environnements constitueront un axe de développement majeur pour cette réflexion urbaine.

Les quartiers aujourd’hui ne peuvent se limiter à la construction d’immeubles, ou des services posés les uns à côté des autres, l’envie est de donner plus de sens à la ville.

C’est grâce à cette prospective des enjeux et des invariants, que le développement de la ville atteindra les exigences en termes d’insertion urbaine, d’écologie et d’animation pour s’ancrer dans un urbanisme respectueux de notre planète.

Le centre-ville de la ville de Roissy-en-Brie aujourd’hui est un centre-ville très étendu, peu animé et se développe en de nombreux points, sur plus d’un kilomètre. Dans le cadre du développement urbain de la ville de Roissy-en-Brie, ce dernier constitue, aujourd’hui, un pôle majeur urbain à aménager pour devenir moderne et adapté aux besoins. À l’instar de toute ville, le centre-ville doit évoluer et muter en un lieu vivant, essentiel à l’animation de la ville.
Comment rendre le centre-ville attractif ? Comment le développer pour créer une animation de centre-ville, source de liens sociaux ?
S’étendant sur un site de plus de 10 hectares, ce projet urbain visera la mutation urbaine du centre-ville et son développement économique.
Il s’agira de créer un véritable centre-ville plus compact, adapté, et offrant des commerces variés.

Création d’un véritable centre-ville animé avec les équipements d’ores et déjà présents : la mairie, le poste de police, la Poste.

Les espaces publics structurants seront essentiels dans la mutation urbaine de ce quartier, car ils seront sources de la vie et de l’animation des quartiers ainsi que leur réussite. Cette nouvelle centralité s’insèrera dans un nouveau maillage de cheminements doux qui ouvrira la forêt de bois d’Arcy vers le cœur de ville. Cette nouvelle place accueillera un ensemble de services -/+ 450m2, des logements (345) ainsi que des commerces en rez-de-chaussée.

Les typologies de logements s’implanteront en cohérence avec le contexte environnant :

• un habitat collectif [R+2/R+3] le long des axes structurants,
• un habitat intermédiaire [R+1/R+2] le long des axes secondaires

Cette mutation urbaine comprend de nombreuses parcelles et des équipements « phares » pour la ville. C’est pourquoi un travail précis sur le phasage devra être mis en place, pour maintenir les activités existantes pendant les travaux [les écoles/la mairie/le marché/la poste]. La mise en œuvre du projet urbain considérera un phasage opérationnel en plusieurs phases.